Cultivation and fine structure of virus-bearing lymphoblasts from a second new guinea burkitt lymphoma: Establishment of sublines with unusual cultural properties
Abstract
enTwo sublines of cells (QIMR-AMB/1 and QIMR-AMB/2) were established from a New Guinea Burkitt lymphoma. In contrast to previously described lines of cultured Burkitt lymphoma cells, there was a first phase of active proliferation of lymphoblasts completely dependent on an autologous fibroblast moiety of the cultures. In a second phase, lymphoblasts able to grow independently in suspension appeared at 8–10 weeks and gradually completely repopulated the cultures. Cytological and electron microscope studies showed that the lymphoid cells of the first phase resembled other cultured Burkitt lymphoblasts, and that the cells characteristic of the second phase were somewhat less differentiated. A herpes-type virus, not transmissible in various tissue cultures or in mice, was detected by electron microscopy in some of the cells.
Abstract
frCulture et Structure Fine de Lymphoblastes Porteurs de Virus, Provenant D'un Deuxième Lymphome de Burkitt de Nouvelle-guinée: Constitution de Sous-Lignées Présentant des Propriétés Culturales Inhabituelles Deux sous-lignées de cellules (QIMR-AMB/1 et QIMR-AMB/2) ont été constituées à partir d'un lymphome de Burkitt de Nouvelle-Guinée. A la différence des lignées précédemment décrites de cellules de lymphome de Burkitt en culture, on a observé une première phase de prolifération active des lymphoblastes, qui dépendait entièrement de la présence de fibroblastes autologues. Pendant une deuxième phase, des lymphoblastes capables de pousser indépendamment en suspension sont apparus après 8 à 10 semaines et ont peu à peu repeuplé complétement les cultures. l'examen cytologique et au microscope électronique a montré que les cellules lymphoïdes de la première phase ressemblaient aux autres lymphoblastes cultivés de tumeur de Burkitt et que les cellules caractéristiques de la deuxième phase étaient un peu moins différenciées. La microscopie électronique a permis de déceler dans certaines cellules un virus de type herpétique, non transmissible à diverses cultures tissulaires ni à la souris.